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Qui se cache derrière Londélor ?

Florence Lenoir la créatrice de Londélor photo prise dans sa pièce atelier

Je suis Florence, la créatrice de Londélor  !

Musicienne et physicienne de formation, j'ai toujours été une grande rêveuse, la tête dans mes notes de musique, les galaxies et la beauté des mathématiques.

J'ai enseigné la formation musicale - anciennement appelée solfège - pendant près de 15 ans.

Un métier riche, exigeant, qui m'a beaucoup apporté.

Mais avec le temps, ce cadre assez scolaire a parfois mis à distance ce qui m'avait donné envie de faire de la musique et de créer.

Et puis un jour, je suis tombée sous le charme du papier japonais et de ses motifs si raffinés.

Fleurs de cerisier, envols de grue, volutes de l'océan... cette nature sérigraphiée, sublimée et réhaussée d'or, a tout de suite représenté pour moi une source d'apaisement.

Après un an de tests, Londélor est née !

 

Être à la tête d'une petite marque, c'est endosser bien des casquettes : imaginer, créer, photographier, emballer, communiquer, tenir sa comptabilité...

Il m'arrive aussi, par périodes, de revenir vers mon ancien métier, le temps d'un remplacement ou d'un jury en conservatoire.

À travers ma marque, j'espère offrir à celles qui porteront mes bijoux une parenthèse de douceur, comme un souffle apaisant dans le tumulte du quotidien.

Un moment suspendu, où l'on prend le temps de contempler les reflets changeants, de surprendre un parfum déjà envolé, et de percevoir le frémissement de l'eau troublée par le vent...

Si, à travers mes bijoux, vous retrouvez un peu de cette sensibilité... j'en serai profondément touchée 🌬️

Pourquoi le nom Londélor ?

Le cimetière marin à Sète : découvrez le rapport avec la marque Londélor

Drôle de décor pour une photo de boucles d'oreilles, qui n'a pourtant rien à voir avec un "trip gothique" !

 

Je cherchais un nom autour du mot "or", qui évoque la couleur de mes apprêts et des motifs qui ornent mes papiers japonais. 

Je suis  allée chercher de l'inspiration auprès de ma soeur et de ses talents littéraires. Elle a pensé à ce vers issu du Cimetière marin de Paul Valéry :

 

« Et vous grande âme, espérez-vous un songe qui n'aura plus ces couleurs de mensonge qu'aux yeux de chair l'onde et l'or font ici ? »

Cimetière marin à Sète

"L'onde et l'or"...

Cette sonorité, ainsi que l'évocation du soleil sur la mer, ont immédiatement résonné en moi. 

 

Le mot "onde" suggère la couleur bleue, souvent présente sur mes papiers ainsi que le design de mes bijoux, que j'ai pensés comme des petits mobiles qui ondoient au gré du vent.

Sur les conseils d'une amie, "L'onde et l'or" , un peu long, est devenu "Londélor",  comme un prénom à la sonorité elfique...

Histoire d'un coup de foudre...

Coup de foudre pour le papier japonais

Tout a commencé par un petit sac offert par les parents d'une élève :  un tissu japonais, délicat, orné de motifs traditionnels...

 

J'ai été tellement inspirée que je me suis empressée d'acheter d'autres tissus du même genre, pour fabriquer des boîtes, des carnets, des pots à crayon...

Le plaisir de sublimer de simples emballages en jolies créations m'a accompagnée longtemps - même si je n'imaginais pas alors en faire un jour mon métier.

C'est en découvrant les grandes feuilles de papier japonais, dans la boutique d'Adeline Klam, que j'ai eu un véritable coup de foudre. Je suis restée des heures à contempler les motifs, les textures, les reflets...

 

Le papier japonais m'est apparu comme plus facile à travailler que le tissu. Et quel bonheur de le vernir !

​Peu à peu, l'idée d'en faire des bijoux s'est imposée : utiliser des petites chutes de papier pour capturer un instant de grâce dans un écrin de vernis.  

 

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