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Qui se cache derrière Londélor ?

Florence Lenoir la créatrice de Londélor photo prise dans sa pièce atelier

Je suis Florence, la créatrice de Londélor  !

Musicienne et physicienne de formation, j'ai toujours été une grande rêveuse, la tête dans mes notes de musique, les galaxies et la beauté des mathématiques.

Un jour, je suis tombée sous le charme du papier japonais et de ses motifs si raffinés.

Fleurs de cerisier, envols de grue, volutes de l'océan... cette nature sérigraphiée, sublimée et réhaussée d'or, a tout de suite représenté pour moi une source d'apaisement.

Après un an de tests, Londélor est née !

Étant l'unique personne derrière cette boutique, je jongle avec plusieurs métiers : créatrice, photographe, comptable, community manager...et il m'arrive encore de faire des remplacements en conservatoire (à l'origine, je suis professeur de solfège !)

Pourquoi le nom Londélor ?

Le cimetière marin à Sète : découvrez le rapport avec la marque Londélor

Drôle de décor pour une photo de boucles d'oreilles, qui n'a pourtant rien à voir avec un "trip gothique" !

 

Je cherchais un nom autour du mot "or", qui évoque la couleur de mes apprêts et des motifs qui ornent mes papiers japonais. 

Je suis  allée chercher de l'inspiration auprès de ma soeur et de ses talents littéraires. Elle a pensé à ce vers issu du Cimetière marin de Paul Valéry :

 

« Et vous grande âme, espérez-vous un songe qui n'aura plus ces couleurs de mensonge qu'aux yeux de chair l'onde et l'or font ici ? »

Cimetière marin à Sète

"L'onde et l'or"...

Cette sonorité, ainsi que l'évocation du soleil sur la mer, ont immédiatement résonné en moi. 

 

Le mot "onde" suggère la couleur bleue, souvent présente sur mes papiers ainsi que le design de mes bijoux, que j'ai pensés comme des petits mobiles qui ondoient au gré du vent.

Sur les conseils d'une amie, "L'onde et l'or" , un peu long, est devenu "Londélor",  comme un prénom à la sonorité elfique...

Histoire d'un coup de foudre...

Coup de foudre pour le papier japonais

Il y a deux ans, les parents d'une élève du conservatoire où j'enseignais m'ont offert un petit sac en tissu japonais pour me remercier de l'année passée.

Ce tissu orné de motifs traditionnels m'a tellement inspirée que je me suis empressée d'en acheter pour confectionner des objets : boîtes de toutes tailles, carnets, pots à crayons... 

Le fait de sublimer de simples emballages en de jolies créations a été pour moi une grande source de satisfaction, mais j'étais loin d'imaginer une commercialisation, notamment au vu du temps de confection.

Plus tard, j'ai découvert le papier japonais : un véritable coup de foudre, une après-midi entière passée au merveilleux magasin "Adeline Klam", complètement hypnotisée par les rouleaux de papier japonais multicolores. 

Cette découverte a donné un nouveau souffle à mes créations : le papier japonais est un matériau très agréable à travailler (moins contraignant que le tissu pour mes boîtes !) et puis quel plaisir de le vernir !

L'idée m'est ensuite venue d'utiliser les chutes de papier pour créér des bijoux : après beaucoup de tests, Londélor est née !

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